Un sujet difficilement abordable par qui ne sait peu de la profession, et dont les pratiques actuelles ne sont pas toujours loyales !
Aperçu= http://www.officiel-taxi.fr/le-metier-p2-r1.html
Il faut être ‘Grandguillaume’ pour s’atteler à la tache de régulariser le marché, sans examiner de façon exacte les ressources, et des uns et des autres ! ‘La facturation au client devrait-être à la base de l’examen des # modes d’activité’
En ce qui concerne les Artisans Taxi: Un statut clair, entériné à la Chambre des métiers et parfaitement connu de tous les Services de l’Etat: Préfecture, Mairies, Douanes, etc… établi de longue date et rigoureux, une profession respectée car elle est soumise à des conditions d’exploitation exigeantes, quant à:
$-Formation payante de longue durée -Examen de passage pratique >Conditions d’inscription à la Chambre des Métiers -Des pratiques strictes (observation de la Police des Boers)-Un équipement de véhicule réglementaire & Une assurance des personnes transportées de type professionnelle-A cela ajoutons une licence d’exercice qui s’octroie à grand frais (~5 ans de coût d’amortissement)-Sans omettre leur affectation à une station, payante -leur secteur de clientèle défini à leur commune(numérus closus) & l’on passera la confirmation au ‘PSC1’ premiers secours -l’examen annuel médical à la conduite & -la visite annuelle du véhicule pour certification, -la capacité à tenir un livre comptable, etc..règles de moralité & bases de langue étrangère parlée
Et, par ailleurs, toutes les autres formes du métier, qui se sont instituées dans des solutions d’intérêts divers-A savoir: Des autorisations diverses et variées d’ accès au transport de personnes, plus ou moins libérales, dans des statuts confus:
Les VTC, Les Sociétés du transport à moto, Les voitures privées, & Les membres UBER
En somme, il y a Le métier ‘tel-que-défini ci-dessus’ & managé par la ‘chambre syndicale du Taxi’ et les Autres.
Cette future loi, dite ‘de vulgarisation’ de la profession & qui se dessine en l’état, semble se tourner vers une libérisation totale du marché… Est-ce à dire que l’Artisanat et toutes ses contingences, décrites ci-dessus, seraient devenues caduques ? (entr’autres, la suppression du barème des courses imposé par la Préfecture..)
Une loi prévisionnelle de clarification et d’unification de la profession -certes- mais en sachant bien que les Artisans sont en droit d’attendre, avec sérieux, la prise en compte de la chute de leur rente d’exploitation (plaques)
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